(...) this is predominately a visual comedy, with Sellers' preposterous changes of costume a continual source of hilarity. (...) Sellers enhances the comedic effect with his virtuoso array of voices and accents (...).

Blake Edwards (...) se maintient dans l'absurde et la délicatesse, et si les scénarios qu'il met en scène sont de moins en moins solides et de plus en plus incompréhensibles, tandis que les dialogues sont curieusement grossiers, on ne lui en voudra probablement jamais.

Que ce film déçoive les inconditionnels de la célèbre série, (...) s'avère évident, ne fut-ce que par la lenteur du rythme imposé par Blake Edwards et la raréfaction des gags. (...) Si le non-sens domine encore, le marivaudage (...) pointe sous la farce pure et sous l'effet pour l'effet.

Parodiant la trame des films d'espionnages modernes, le récit s'organise autour de gadgets explosifs avant de miser sur un enchaînement de quiproquos que favorisent les dispositions du héros pour la comédie et le déguisement.

Pas un ralentissement dans ce scénario pourtant sans histoire. Les gags se succèdent, sur fond de dialogues où le jeu des mots sait se tailler aussi sa part du comique. (...) Peter Sellers, imperturbable, joue une fois encore avec brio de ses talents à la Fregoli.