La Dernière Maison sur la plage (La Settima Donna)

Name: Dernière Maison sur la plage, La
Director: Franco Prosperi
Genre: Drame policier
Released: 2010-09-03 13:31:57
Duration: 85 min.

It. 1978. Drame policier de Franco Prosperi avec Florinda Bolkan, Ray Lovelock, Flavio Andreini. Après avoir dévalisé une banque, trois criminels en fuite se réfugient dans une villa isolée où se trouvent cinq collégiennes avec leur enseignante et une servante. Production racoleuse aux nombreux effets faciles et gratuits. Réalisation de métier. Interprètes masculins grotesques. F. Bolkan correcte mais manquant de conviction.

La Dernière Maison sur la plage (La Settima Donna)

18 ans +

It. 1978. Drame policier de Franco Prosperi avec Florinda Bolkan, Ray Lovelock, Flavio Andreini.

Après avoir dévalisé une banque, trois criminels en fuite se réfugient dans une villa isolée où se trouvent cinq collégiennes avec leur enseignante et une servante. Production racoleuse aux nombreux effets faciles et gratuits. Réalisation de métier. Interprètes masculins grotesques. F. Bolkan correcte mais manquant de conviction.

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Genre :

Drame policier

Année :

1978

Durée :

85 min.

Réalisation :

Franco Prosperi

Pays :

Italie

Distributeur :

Karim

Interprètes :

Florinda Bolkan
Ray Lovelock
Flavio Andreini

Après avoir dévalisé une banque, trois criminels fuient sur une route le long de la mer. Leur voiture ayant des ratés, ils se réfugient dans une villa isolée où se trouvent cinq collégiennes avec une enseignante, soeur Christine, et une servante. L'un des bandits ne tarde pas à tuer la domestique qui voulait fuir, puis c'est au tour de la religieuse d'être violentée. Lorsque l'un des voyous s'en prend durement à l'une de ses élèves, soeur Christine se révolte et passe à l'attaque.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce film appartient à un courant de productions accrocheuses où l'on exploite le goût de certains spectateurs pour la violence et le sexe. Le réalisateur ne manque pas de métier, mais il n'utilise son savoir-faire que dans la fabrication d'effets faciles et le plus souvent gratuits. Il insiste lourdement sur les scènes à faire dans l'optique d'une progression prévisible dans la sauvagerie et l'horreur. Le jeu des interprètes masculins est grotesque à souhait, aucune grimace maligne n'étant laissée dans l'oubli. Florinda Bolkan pour sa part s'en tire comme elle peut, sans conviction particulière.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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