Remarquable

L'Enfant de nuit (Enfantasme)

Name: Enfant de nuit, L'
Director: Sergio Gobbi
Genre: Drame psychologique
Duration: 104 min.

It. 1978. Drame psychologique de Sergio Gobbi avec Agostina Belli, Stefano Satta Flores, Jean-Claude Bouillon. Une femme croit reconnaître en un garçonnet son enfant mort dans un accident. Mélange de psychologie et de fantastique. Développements assez artificiels. Beaux paysages hivernaux. Interprétation honorable de A. Belli.

L'Enfant de nuit (Enfantasme)

Général

It. 1978. Drame psychologique de Sergio Gobbi avec Agostina Belli, Stefano Satta Flores, Jean-Claude Bouillon.

Une femme croit reconnaître en un garçonnet son enfant mort dans un accident. Mélange de psychologie et de fantastique. Développements assez artificiels. Beaux paysages hivernaux. Interprétation honorable de A. Belli.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1978

Durée :

104 min.

Réalisation :

Sergio Gobbi

Scénario :

Ugo Pirro
Sergio Gobbi
D'après le roman de G.J. Arnaud

Photographie :

Ennio Guarnieri

Musique :

Stelvio Cipriani

Montage :

Ruggero Mastroianni

Pays :

Italie
France

Distributeur :

Films Mutuels

Interprètes :

Agostina Belli
Stefano Satta Flores
Jean-Claude Bouillon
Sergino
Gérard Menigou
Antonio Cantafora
Elisa Pozzi
Aïché Nana
Brigitte Skay

Claudia Lanza revient au chalet de montagne qu'elle n'a plus habité depuis la mort de son jeune fils Marco. Elle fait la rencontre d'un garçonnet qui dit s'appeler Nino et qui a l'âge qu'aurait eu Marco. Mais personne au village ne connaît l'enfant et Claudia semble être la seule à le voir. Lorsque son mari survient, il s'inquiète et la fait examiner par un psychiatre. Pour lui faire plaisir, il se rend au cimetière où Nino pourrait s'être réfugié et il est retrouvé mort le lendemain. Peu après, le chalet brûle et Claudia quitte le village.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après avoir fait carrière dans le cinéma français, Sergio Gobbi (LE TEMPS DES LOUPS, MALDONNE) est allé tourner pour la première fois dans son pays d'origine. Développant une histoire psychologico-fantastique, il cède le plus souvent à son goût de la belle image sans arriver vraiment à créer le climat d'ambiguïté nécessaire. Les développements du récit apparaissent assez artificiels, même si on peut prendre un certain plaisir à une imagerie tirant profit de paysages hivernaux. Agostina Belli (LE GRAND ESCOGRIFFE) se tire d'affaire fort honorablement.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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