The Long Dark Night

É.-U. 1977. Drame d'horreur de Robert Clouse avec Joe Don Baker, Richard B. Shull, Hope Alexander-Willis. Sur une île éloignée, des chiens abandonnés par des touristes de passage se réunissent en meute et se mettent à attaquer la population. Développements logiques. Passages impressionnants. Personnages peu approfondis. Interprétation valable.

The Long Dark Night (The Long Dark Night)

13 ans +

É.-U. 1977. Drame d'horreur de Robert Clouse avec Joe Don Baker, Richard B. Shull, Hope Alexander-Willis.

Sur une île éloignée, des chiens abandonnés par des touristes de passage se réunissent en meute et se mettent à attaquer la population. Développements logiques. Passages impressionnants. Personnages peu approfondis. Interprétation valable.

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Genre :

Drame d'horreur

Année :

1977

Durée :

99 min.

Réalisation :

Robert Clouse

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Warner Bros.

Interprètes :

Joe Don Baker
Richard B. Shull
Hope Alexander-Willis

Sur une île éloignée de la côte et uniquement desservie par un traversier effectuant un voyage par semaine, des chiens abandonnés par des touristes de passage se réunissent en meute et se mettent à attaquer les autres animaux puis les hommes. La première victime est un vieil aveugle et, lorsque son cadavre est découvert, un biologiste en stage d'observation sur l'île, Jerry, s'efforce de regrouper les autres personnes et d'organiser un système de défense. Cela ne va pas sans mal et les chiens font d'autres victimes avant que Jerry trouve le moyen de les supprimer.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Parmi tous les films marchant lourdement sur les brisées des OISEAUX d'Hitchcock, celui-ci se révèle comme une assez heureuse surprise. Le point de départ ne manque pas d'à-propos et les développements, en dépit d'une certaine dose d'outrance nécessaire à la dramatisation, suivent une progression logique satisfaisante. Le réalisateur a su évoquer avec une économie de moyens surprenants la menace présentée par des chiens retournés à l'état sauvage. Les personnages ne sont guère approfondis, mais ils sont campés avec suffisamment de présence.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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