Ce film présente une vingtaine de sketch es. d'une longueur variable où l'on se moque de certaines tendances de l=a télévision, ou du cinéma. La plus 'longue séquence, prenant presque un tiers du métrage, est une parodie des films de kung fu intitulée Pour une poignée de yens. Le cinéma pornographique, les films à catastrophe et l'es productions) pour les- Noirs servent aussi de cibles tout comme les feuilletons, les commerciaux et les émissions de nouvelles à la télévision.
L’AVIS DE MEDIAFILM
Auteur déjà d'une parodie de KING KONG intitulée SCHLOCK, John Landis continue dans la même veine avec ce film sous forme de revue. Tout n'y est pas d'un bonheur égal, loin de là, et pour de rares effets réussis, il faut endurer nombre de plaisanteries faciles et lourdes. Même si le réalisateur fait montre d'une certaine aisance à l'occasion, il n'arrive pas à dominer sa matière et à donner à l'ensemble un niveau d'humour unifié. Par ailleurs, certaines séquences sont d'un mauvais goût évident.
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13 ans + (érotisme) 
Chef-d'oeuvre
Remarquable
Très bon
Bon
Moyen
Pauvre
Minable