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Repérages

Name: Repérages
Director: Michel Soutter
Genre: Comédie dramatique
Duration: 90 min.

Suis. 1977. Comédie dramatique de Michel Soutter avec Jean-Louis Trintignant, Delphine Seyrig, Lea Massari. Un réalisateur entreprend de porter à l'écran une pièce de Tchekhov dans le but de se rapprocher de son ex-femme en lui confiant un rôle. Traitement intéressant. Photographie soignée. Bonne interprétation.

Repérages (Repérages)

Général

Suis. 1977. Comédie dramatique de Michel Soutter avec Jean-Louis Trintignant, Delphine Seyrig, Lea Massari.

Un réalisateur entreprend de porter à l'écran une pièce de Tchekhov dans le but de se rapprocher de son ex-femme en lui confiant un rôle. Traitement intéressant. Photographie soignée. Bonne interprétation.

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Genre :

Comédie dramatique

Année :

1977

Durée :

90 min.

Réalisation :

Michel Soutter

Scénario :

Michel Soutter

Photographie :

Renato Berta

Musique :

Arié Dzierlatka

Montage :

Albert Jurgenson

Pays :

Suisse
France

Distributeur :

Films Mutuels

Interprètes :

Jean-Louis Trintignant
Delphine Seyrig
Lea Massari
Valérie Mairesse
Roger Jendly
François Rochaix
Armen Godel
Gabriel Arout
François Berthet
France Lambiotte

Victor, réalisateur de films, veut porter à l'écran une pièce de Tchékhov, "Les Trois Soeurs". Pour préparer le film, il réunit les trois actrices qu'il a pressenties pour les rôles principaux: son ex-femme Julie, une Italienne engagée pour raisons de coproduction, Cécilia, et une jeune comédienne, Esther. Il devient vite évident que pour Victor, le principal motif de cette démarche est un rapprochement avec Julie. Cécilia et Esther sont les témoins plus ou moins sympathiques de ces retrouvailles difficultueuses.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Se plaçant délibérément sous l'ombre de Tchékhov, le cinéaste suisse Michel Soutter (L'ESCAPADE) offre des variations en demi-teintes sur les rapports entre l'homme et la femme. Pour intéressant qu'apparaisse le traitement et coulé qu'il soit dans des images d'une grande beauté, l'ensemble n'en témoigne pas moins d'une conception littéraire du cinéma et l'insertion de certains passages peut sembler relever du caprice plus que de la nécessité dramatique. Le jeu des comédiens retient l'attention.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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