On peut le dire sans se fâcher

Name: On peut le dire sans se fâcher
Director: Roger Coggio
Genre: Comédie
Duration: 91 min.

Fr. 1977. Comédie de Roger Coggio avec Élisabeth Huppert, Luisa Colpeyn, Roger Coggio. Ayant organisé son suicide, une jeune femme voit ses plans contrecarrés par un quidam. Sujet original. Suite de quiproquos. Bon rythme. Jeu animé des comédiens.

On peut le dire sans se fâcher (On peut le dire sans se fâcher)

Général

Fr. 1977. Comédie de Roger Coggio avec Élisabeth Huppert, Luisa Colpeyn, Roger Coggio.

Ayant organisé son suicide, une jeune femme voit ses plans contrecarrés par un quidam. Sujet original. Suite de quiproquos. Bon rythme. Jeu animé des comédiens.

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Genre :

Comédie

Année :

1977

Durée :

91 min.

Réalisation :

Roger Coggio

Scénario :

Élisabeth Huppert
Roger Coggio
Bernard G. Landry

Photographie :

Étienne Becker

Musique :

Michel Legrand

Montage :

Denise de Casabianca

Pays :

France
Italie

Distributeur :

Prima Film

Interprètes :

Élisabeth Huppert
Luisa Colpeyn
Roger Coggio
Madeleine Robinson
Jole Silvani
Adriana Innocenti

Par ennui plus que par désespoir, Pauline a décidé de se suicider le jour de son vingt-neuvième anniversaire après avoir mis au point tous les détails de ses funérailles. À la suite d'un dernier repas pantagruélique, elle se trouve incapable de conduire sa voiture et doit faire appel à un inconnu pour la ramener chez elle. Celui-ci, un quadragénaire d'origine italienne, s'impose à elle ce qui provoque divers incidents et bouleverse ses plans de suicide. Si bien que les parents et amis réunis pour l'enterrement voient surgir une Pauline bien vivante.

L’AVIS DE MEDIAFILM

À partir d'un point de départ original, les auteurs multiplient quiproquos et oppositions comiques pour alimenter un film conçu dans le style des comédies de boulevard. La collaboration entre Roger Coggio et Élisabeth Huppert tant au niveau de la conception et de la réalisation que de l'interprétation donne d'heureux résultats. Cela ne va pas très loin dans l'observation de moeurs, mais le rythme est bon et il y a une entente évidente en même temps qu'un sympathique complément par contrastes dans le jeu des comédiens.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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