Remarquable

On m'appelle Dollars (Mr. Billion)

Name: On m'appelle Dollars
Director: Jonathan Kaplan
Genre: Comédie dramatique
Duration: 91 min.

É.-U. 1977. Comédie dramatique de Jonathan Kaplan avec Terence Hill, Valerie Perrine, Jackie Gleason. Un jeune mécanicien italien doit affronter divers obstacles pour toucher un héritage mirifique. Film conçu comme une course à obstacles. Mise en scène mouvementée. Personnages secondaires mal définis. Jeu décontracté de T. Hill.

On m'appelle Dollars (Mr. Billion)

Général

É.-U. 1977. Comédie dramatique de Jonathan Kaplan avec Terence Hill, Valerie Perrine, Jackie Gleason.

Un jeune mécanicien italien doit affronter divers obstacles pour toucher un héritage mirifique. Film conçu comme une course à obstacles. Mise en scène mouvementée. Personnages secondaires mal définis. Jeu décontracté de T. Hill.

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Genre :

Comédie dramatique

Année :

1977

Durée :

91 min.

Réalisation :

Jonathan Kaplan

Scénario :

Ken Friedman
Jonathan Kaplan

Photographie :

Matthew F. Leonetti

Musique :

Dave Grusin

Montage :

O. Nicholas Brown

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Bellevue

Interprètes :

Terence Hill
Valerie Perrine
Jackie Gleason
Slim Pickens
William Redfield
Chill Wills
Dick Miller
R.G. Armstrong
Kate Heflin

Un jeune mécanicien italien, Guido Falcone, devient l'unique héritier d'un oncle qui a fait fortune aux États-Unis. Pour satisfaire aux conditions du testament, il lui faut se rendre à San Francisco dans un délai de trois semaines. L'administrateur des entreprises de l'oncle, qui guigne la fortune, s'efforce de mettre des obstacles sur sa route, notamment une jeune femme, Rosie, qui finit pourtant par s'éprendre de Guido. Celui-ci vient à bout de toutes les difficultés et arrive à San Francisco à point nommé.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Conçu comme une sorte de course à obstacles, ce film donne à l'acteur italien Mario Girotti, devenu célèbre dans les westerns spaghetti sous le pseudonyme de Terence Hill, l'occasion de tourner pour la première fois dans une production américaine. Il y fait montre de sa décontraction habituelle dans un rôle de grand naïf qui n'est pas sans rappeler les héros de Frank Capra. La mise en scène est plus mouvementée que soignée et certains détails techniques laissent à désirer. Les personnages secondaires apparaissent mal définis et le suspense n'est pas des plus prenants.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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