Remarquable

Les Crocs du diable (El Perro)

Name: Crocs du diable, Les
Director: Antonio Isasi-Isasmendi
Genre: Drame
Duration: 108 min.

Esp. 1977. Drame de Antonio Isasi-Isasmendi avec Jason Miller, Lea Massari, Aldo Sambrell. Un prisonnier politique ayant réussi à s'évader se voit poursuivi par un gardien sadique et son chien. Adaptation satisfaisante du roman d'Alberto Vázquez Figueroa. Récit symbolique. Mise en scène vigoureuse. Interprétation convaincue.

Les Crocs du diable (El Perro)

13 ans +

Esp. 1977. Drame de Antonio Isasi-Isasmendi avec Jason Miller, Lea Massari, Aldo Sambrell.

Un prisonnier politique ayant réussi à s'évader se voit poursuivi par un gardien sadique et son chien. Adaptation satisfaisante du roman d'Alberto Vázquez Figueroa. Récit symbolique. Mise en scène vigoureuse. Interprétation convaincue.

Fiche du film Ajouter à ma liste

Genre :

Drame

Année :

1977

Durée :

108 min.

Réalisation :

Antonio Isasi-Isasmendi

Scénario :

Antonio Isasi-Isasmendi
Juan Antonio Porto
Alberto Vázquez Figueroa
D'après le roman de Alberto Vázquez Figueroa

Photographie :

Juan Gelpi

Musique :

Anton Garcia Abril

Montage :

Carmen Frias

Pays :

Espagne

Distributeur :

Action-Films

Interprètes :

Jason Miller
Lea Massari
Aldo Sambrell
Francisco Casares
Yolanda Farr
Juan Antonio Bardem
Eduardo Calvo
Manuel de Blas
Antonio Gamero
José Yepes
Rafael Albaicin
Marisa Paredes

Détenu dans un camp de travail pour ses idées politiques, le mathématicien Aristides Ungria s'évade à l'occasion d'un accident. Il est pourchassé par un gardien sadique qu'il arrive à tuer. Mais avant de mourir, l'homme met son chien à ses trousses. Commence une longue poursuite où le fugitif doit affronter le chien féroce à plusieurs reprises. Ungria parvient pourtant à la capitale où il se joint à un groupe révolutionnaire, mais le chien n'a pas perdu sa trace.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Réalisateur de films d'action à l'américaine, Antonio Isasi-Isasmendi (MEURTRES AU SOLEIL) s'essaie cette fois à un sujet plus original où la recherche symbolique finit par l'emporter sur le réalisme. En dépit de quelques invraisemblances, le récit se suit bien car il est mené avec vigueur dans des paysages superbement sauvages. La dernière partie apparaît un peu plus artificielle, mais encore là l'intérêt se maintient. Jason Miller porte le poids du film sur de solides épaules.

Texte : Robert-Claude Bérubé

COMMENTAIRES

Ajouter un commentaire

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!