Remarquable

Le Passé simple

Name: Passé simple, Le
Director: Michel Drach
Genre: Drame psychologique
Duration: 96 min.

Fr. 1977. Drame psychologique de Michel Drach avec Marie-José Nat, Victor Lanoux, Marc Eyraud. À sa sortie d'hôpital, une jeune femme devenue amnésique tente de reconstituer son passé. Traitement convaincu et sensible d'un thème connu. Mise en scène soignée. Climat d'inquiétude bien créé. Interprétation valable.

Le Passé simple (Le Passé simple)

Général

Fr. 1977. Drame psychologique de Michel Drach avec Marie-José Nat, Victor Lanoux, Marc Eyraud.

À sa sortie d'hôpital, une jeune femme devenue amnésique tente de reconstituer son passé. Traitement convaincu et sensible d'un thème connu. Mise en scène soignée. Climat d'inquiétude bien créé. Interprétation valable.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1977

Durée :

96 min.

Réalisation :

Michel Drach

Scénario :

Pierre Uytterhoeven
Michel Drach
D'après le roman de Dominique Saint-Alban

Photographie :

Étienne Szabo

Musique :

Jacques Monty
Jean-Louis D'Onorio

Montage :

Françoise Bonnot
Jacques Audiard

Pays :

France

Distributeur :

Prima Film

Interprètes :

Marie-José Nat
Victor Lanoux
Marc Eyraud
Vania Vilers
Anne Lonnberg
Roland Blanche
Albert Dray
Philippe March
Claude Legros
Didier Sauvegrain
Henri Marteau
Virginie Grigaut
Claude Niccoli
Jacques Poirson

Après un accident d'automobile, Cécile se réveille amnésique à l'hôpital. Lorsqu'elle est rétablie physiquement, son mari François la ramène dans un appartement qu'elle ne reconnaît pas. Un voyage en province pour rencontrer sa fillette confiée à la mère de François augmente ses angoisses. De retour à Paris, elle s'en va loger dans un hôtel et cherche à exorciser ses fantasmes. Elle se convainc que François cherche à lui cacher les éléments de son passé. Sa découverte de la vérité lui impose un choix important.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce thème de la découverte de son passé par un ou une amnésique n'est pas particulièrement neuf, mais Michel Drach (LES VIOLONS DU BAL) est arrivé à le traiter avec conviction et même avec émotion. Sans échapper complètement à l'artifice, sa mise en scène s'avère fort soignée et habile à créer le climat voulu d'inquiétude. L'utilisation sobre de tons bruns dans l'harmonisation des couleurs et un choix judicieux des décors contribuent à l'efficacité de l'ambiance. Le jeu des protagonistes apparaît bien dosé.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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