Remarquable

Goodbye Emmanuelle

Name: Goodbye Emmanuelle
Director: François Leterrier
Genre: Drame de moeurs
Duration: 99 min.

Fr. 1977. Drame de moeurs de François Leterrier avec Sylvia Kristel, Umberto Orsini, Jean-Pierre Bouvier. La jeune femme d'un architecte installé aux îles Seychelles s'éprend d'un cinéaste de passage. Scénario insipide prétexte à scènes érotiques. Mise en scène élégante. Interprétation limitée.

Goodbye Emmanuelle (Goodbye Emmanuelle)

16 ans + (érotisme)

Fr. 1977. Drame de moeurs de François Leterrier avec Sylvia Kristel, Umberto Orsini, Jean-Pierre Bouvier.

La jeune femme d'un architecte installé aux îles Seychelles s'éprend d'un cinéaste de passage. Scénario insipide prétexte à scènes érotiques. Mise en scène élégante. Interprétation limitée.

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Genre :

Drame de moeurs

Année :

1977

Durée :

99 min.

Réalisation :

François Leterrier

Scénario :

Monique Lange
François Leterrier
D'après l'oeuvre de Emmanuelle Arsan

Photographie :

Jean Badal

Musique :

Serge Gainsbourg

Montage :

Marie-Josèphe Yoyotte

Pays :

France

Distributeur :

Films Mutuels

Interprètes :

Sylvia Kristel
Umberto Orsini
Jean-Pierre Bouvier
Alexandra Stewart
Olga Georges-Picot
Sylvie Fennec
Radiah Frye
Caroline Laurence
Jack Allen
Erik Colin
Jacques Doniol-Valcroze
Charlotte Alexandra
Greg Germain

Un architecte, Jean, et sa jeune femme, Emmanuelle, installés aux îles Seychelles, se permettent l'un et l'autre diverses expériences érotiques. Le passage d'un cinéaste français, Gregory, vient troubler pour Emmanuelle cette existence hédoniste. Après avoir tenté de l'attirer pour le plaisir, la jeune femme se prend pour lui d'une passion exclusive. Jean n'est pas sans remarquer chez elle une transformation et s'efforce en vain de briser l'idylle. Emmanuelle finit par quitter les îles pour rejoindre Gregory à Paris.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Auteur de films sérieux, presque austères, François Leterrier (PROJECTION PRIVÉE) n'est certes pas le réalisateur auquel on se serait attendu pour donner une suite aux aventures d'Emmanuelle. Même s'il prend la contrepartie de l'esprit des films précédents et fait montre d'une relative mesure dans la présentation, il ne peut éviter d'utiliser les éléments habituels de la série, exotisme et érotisme. L'élégance de la mise en scène n'arrive pas à cacher l'inanité du scénario et le talent dramatique de Sylvia Kristel est toujours limité.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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