Une veuve mariée à un pharmacien est tourmentée par le fantôme de son premier mari. Comédie gaillarde. Satire un peu lourde. Mise en scène capricieuse. Interprétation vivante.
On est loin du "cinéma novo" avec cette comédie gaillarde ou la satire se fait lourde, quand satire il y a. Deux types d'hommes y sont opposés avec préférence marquée pour le macho de tradition sud-américaine. La mise en scène est plutôt capricieuse exploitant le procédé du retour en arrière de façon illogique et réservant pour la fin l'idée la plus originale, celle d'un fantôme par trop charnel. Tout cela est présenté avec une certaine verve par moments et les acteurs ne manquent pas de présence.
Texte : Robert-Claude Bérubé