Remarquable

À chacun son enfer

Name: À chacun son enfer
Director: André Cayatte
Genre: Drame policier
Duration: 101 min.

Fr. 1977. Drame policier de André Cayatte avec Annie Girardot, Stéphane Hillel, Bernard Fresson. Une femme dont la fillette a été enlevée passe par de terribles épreuves. Scénario inspiré d'un fait divers. Réalisation efficace et précise. Rythme habilement soutenu. Interprétation convaincue.

À chacun son enfer (À chacun son enfer)

Général

Fr. 1977. Drame policier de André Cayatte avec Annie Girardot, Stéphane Hillel, Bernard Fresson.

Une femme dont la fillette a été enlevée passe par de terribles épreuves. Scénario inspiré d'un fait divers. Réalisation efficace et précise. Rythme habilement soutenu. Interprétation convaincue.

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Genre :

Drame policier

Année :

1977

Durée :

101 min.

Réalisation :

André Cayatte

Scénario :

André Cayatte
Jean Curtelin

Photographie :

Maurice Fellous
Ennio Guarnieri

Musique :

Vladimir Cosma

Montage :

Paul Cayatte

Pays :

France
Allemagne

Distributeur :

Films Mutuels

Interprètes :

Annie Girardot
Stéphane Hillel
Bernard Fresson
Hardy Krüger
Fernand Ledoux
Édith Scob
Astrid Frank
Anne-Marie Hanschke
Leila Frechet
François Perrot
Jacques Zanetti
Roger Mirmont
Florence Giorgetti

La fillette du couple Girard a été enlevée. La mère, Madeleine, fait un appel au ravisseur à la télévision et l'on réunit la rançon demandée. Pendant que Michel, son fils d'un premier mariage, éloigne les curieux, Madeleine se rend au rendez-vous fixé par le criminel pour l'échange. Mais après avoir donné l'argent, la mère ne trouve qu'un cadavre dans un sac. La police lui apprend que l'enfant a été tuée peu de temps après son enlèvement et que le coupable fait vraisemblablement partie de son entourage immédiat ou même de sa famille.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Transposant à chaud les éléments d'un fait divers récent, André Cayatte (VERDICT) en force certains aspects au point de donner au sujet des allures de mélodrame flamboyant. Par ailleurs, le récit est conduit de façon efficace et précise sur un rythme habilement soutenu par un flot d'images percutantes. Centrant le film sur le problème de la mère, qui quitte rarement l'écran, le réalisateur en profite pour censurer la curiosité maladive des foules. Annie Girardot joue les mater dolorosa avec force et conviction.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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