Welcome to L.A.

Name: Welcome to L.A.
Director: Alan Rudolph
Genre: Drame de moeurs
Duration: 103 min.

É.-U. 1976. Drame de moeurs de Alan Rudolph avec Keith Carradine, Geraldine Chaplin, Harvey Keitel. Après une absence de trois ans, un jeune écrivain revient à Los Angeles et y fait de curieuses rencontres. Oeuvre complexe et quelque peu prétentieuse. Mise en scène assurée. Ton mélancolique. Interprétation convaincante.

Welcome to L.A. (Welcome to L.A.)

13 ans +

É.-U. 1976. Drame de moeurs de Alan Rudolph avec Keith Carradine, Geraldine Chaplin, Harvey Keitel.

Après une absence de trois ans, un jeune écrivain revient à Los Angeles et y fait de curieuses rencontres. Oeuvre complexe et quelque peu prétentieuse. Mise en scène assurée. Ton mélancolique. Interprétation convaincante.

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Genre :

Drame de moeurs

Année :

1976

Durée :

103 min.

Réalisation :

Alan Rudolph

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Bellevue

Interprètes :

Keith Carradine
Geraldine Chaplin
Harvey Keitel

Un jeune écrivain, Carroll Barber, revient à Los Angeles après une absence de trois ans. Son père, riche industriel, a manigancé son retour en finançant l'enregistrement musical d'une oeuvre utilisant des paroles écrites par Barber. Le jeune homme fait par hasard la rencontre d'une jeune femme mélancolique, Karen, qui est, sans qu'il le sache, l'épouse du principal collaborateur de son père, Kenneth Hood. Il a par ailleurs d'autres aventures passagères tout en cherchant à attirer chez lui Karen qui a des relations difficiles avec son mari.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce film est l'oeuvre d'un jeune protégé de Robert Altman qui a d'ailleurs emprunté à son mentor un certain tour de construction en même temps que quelques-uns de ses acteurs favoris. Il y a aussi des relents d'Antonioni dans cette oeuvre complexe et quelque peu prétentieuse. II reste que, quoique débutant, l'auteur a un style assuré et qu'il réussit à faire s'entrecroiser dans un rythme fluide les divers personnages qu'il met en scène. Le ton de mélancolie ambiant est bien servi par l'interprétation.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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