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Vendredi dingue, dingue, dingue (Freaky Friday)

Name: Vendredi dingue, dingue, dingue
Director: Gary Nelson
Genre: Comédie fantaisiste
Duration: 95 min.

É.-U. 1976. Comédie fantaisiste de Gary Nelson avec Barbara Harris, Jodie Foster, John Astin. À la suite d'un souhait inconsidéré, la mère d'une adolescente sportive et désordonnée se trouve transportée dans le corps de sa fille et vice versa. Sujet insuffisamment exploité. Mise en scène chargée. Interprètes de talent.

Vendredi dingue, dingue, dingue (Freaky Friday)

Général

É.-U. 1976. Comédie fantaisiste de Gary Nelson avec Barbara Harris, Jodie Foster, John Astin.

À la suite d'un souhait inconsidéré, la mère d'une adolescente sportive et désordonnée se trouve transportée dans le corps de sa fille et vice versa. Sujet insuffisamment exploité. Mise en scène chargée. Interprètes de talent.

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Genre :

Comédie fantaisiste

Année :

1976

Durée :

95 min.

Réalisation :

Gary Nelson

Scénario :

Mary Rodgers
D'après le livre de Mary Rodgers

Photographie :

Charles F. Wheeler

Musique :

Johnny Mandel

Montage :

Cotton Warburton

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Bellevue

Interprètes :

Barbara Harris
Jodie Foster
John Astin
Patsy Kelly
Dick Van Patten
Vicki Schreck

Annabel Andrews est une adolescente sportive et désordonnée, souvent réprimandée par sa mère. Chacune affirme que l'autre a la meilleure part dans la vie. Un jour, à la suite d'un souhait inconsidéré, la mère se trouve transportée dans le corps de sa fille et vice versa. Pendant qu'Annabel doit faire face tant bien que mal aux problèmes domestiques de sa maman, Madame Andrews se montre maladroite en classe et sur le terrain de jeux. La curieuse journée de l'une et de l'autre se termine par un spectacle aquatique dont Annabel doit être la vedette.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'échange de personnalités qui est au coeur du scénario offrait des possibilités intéressantes d'observations ironiques, mais les développements sont tellement chargés que l'ensemble apparaît comme un jeu gratuit et fort artificiel. Le metteur en scène n'a pas su tirer profit des situations et s'est contenté de tabler sur le talent des deux protagonistes qui ont beaucoup à faire pour soutenir l'attention. L'une et l'autre ne manquent pas de talent mais n'ont guère l'occasion que d'en faire une démonstration superficielle. Certains aspects techniques ont été négligés.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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