Un Type comme moi ne devrait jamais mourir

Name: Type comme moi ne devrait jamais mourir, Un
Director: Michel Vianey
Genre: Comédie dramatique
Duration: 100 min.

Fr. 1976. Comédie dramatique de Michel Vianey avec Jean-Michel Folon, Francine Racette, Bernard Fresson. Au lieu de se rendre au bureau, un agent de change s'enferme dans sa voiture. Sujet insolite. Intérêt mal soutenu. Humour trop discret. Interprétation sympathique de J.-M. Folon.

Un Type comme moi ne devrait jamais mourir (Un Type comme moi ne devrait jamais mourir)

13 ans +

Fr. 1976. Comédie dramatique de Michel Vianey avec Jean-Michel Folon, Francine Racette, Bernard Fresson.

Au lieu de se rendre au bureau, un agent de change s'enferme dans sa voiture. Sujet insolite. Intérêt mal soutenu. Humour trop discret. Interprétation sympathique de J.-M. Folon.

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Genre :

Comédie dramatique

Année :

1976

Durée :

100 min.

Réalisation :

Michel Vianey

Scénario :

Michel Vianey

Photographie :

Georges Barsky

Musique :

Mort Shuman

Montage :

Agnès Guillemot
Marie-Aimée Debril

Pays :

France

Distributeur :

Malofilm

Interprètes :

Jean-Michel Folon
Francine Racette
Bernard Fresson
Mort Shuman
Henri Garcin
Sabine Glaser
Bernadette Lafont
Josephine Chaplin
Anne Jousset
Marcelle Grastin
Roger Riffard
Bernard Farcy

Un agent de change, Léopold Bloom, change un jour brusquement ses habitudes. Au lieu de se rendre au bureau où ses subordonnés attendent vainement ses décisions, il s'enferme dans sa voiture où il prend ses repas et reçoit ses amis. Après avoir tenté de le comprendre, sa jeune femme, Susy, le quitte et entreprend un flirt avec un écrivain. Max et Anatole, les deux meilleurs amis de Léopold, tentent de le distraire, au risque d'assimiler ses angoisses.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Scénariste du film de Maurice Dugowson, LILY, AIME-MOI, Michel Vianey est passé à la mise en scène en tentant de conserver le même ton de dérision amicale teintée de poésie. Les atermoiements de son financier cafardeux ne sont pas cependant d'un intérêt soutenu, même si des détails insolites font sourire ici et là. Les personnages ne s'expriment guère qu'à coups d'aphorismes et de citations et l'humour est si discret qu'il est à peine perceptible. Cela donne l'effet d'un Woody Allen à la française avec la verve en moins. Le dessinateur Jean-François Folon confère tout de même une certaine présence sympathique à son personnage.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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