C'est là le premier film de Schepisi qui devait réaliser par la suite THE CHANT OF JIMMIE BLACKSMITH. Il s'y trouve des touches autobiographiques indiquant que l'auteur avait un vieux compte à régler avec son éducation première. Si le milieu religieux est décrit avec une bonne dose d'ironie caricaturale, il entre aussi dans le tableau une certaine part de sympathie et de compréhension. On y décèle par ailleurs une force d'expression déjà assurée et un bon nombre de touches inventives. L'interprétation est plus qu'acceptable.
Texte : Robert-Claude Bérubé