Next Stop, Greenwich Village

Name: Next Stop, Greenwich Village
Director: Paul Mazursky
Genre: Comédie de moeurs
Duration: 111 min.

É.-U. 1976. Comédie de moeurs de Paul Mazursky avec Lenny Baker, Shelley Winters, Ellen Greene. En 1953, un jeune homme désireux de devenir acteur quitte ses parents et s'installe à Greenwich Village. Touches autobiographiques. Nombreux clichés. Ensemble inégal. Passages savoureux. Interprétation honorable.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)

Next Stop, Greenwich Village (Next Stop, Greenwich Village)

Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 1976. Comédie de moeurs de Paul Mazursky avec Lenny Baker, Shelley Winters, Ellen Greene.

En 1953, un jeune homme désireux de devenir acteur quitte ses parents et s'installe à Greenwich Village. Touches autobiographiques. Nombreux clichés. Ensemble inégal. Passages savoureux. Interprétation honorable.

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Genre :

Comédie de moeurs

Année :

1976

Durée :

111 min.

Réalisation :

Paul Mazursky

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Bellevue

Interprètes :

Lenny Baker
Shelley Winters
Ellen Greene

Le jeune Larry Lapinsky, qui ambitionne de devenir acteur, quitte la demeure de ses parents en 1953 pour s'installer dans un appartement de Greenwich Village. Il se fait un groupe d'amis parmi ses nouveaux voisins et partage leur existence précaire tout en suivant des cours d'art dramatique et en courant les auditions. Sa mère lui fait des visites intempestives et se mêle de ses affaires de coeur. Larry finit par décrocher un engagement dans un film et part pour Hollywood.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il semble que Paul Mazursky ait puisé dans ses souvenirs de jeunesse pour tracer ce portrait de la vie à Greenwich Village au début des années 1950. Si tel est le cas, il faut croire qu'on trouve autant de clichés dans la vie que dans les films, tellement les situations et les personnages ont un air de déjà vu. Conçu en bonne partie sous forme de saynètes, le film comporte des moments savoureux entre des passages plus artificiels. L'interprétation est honorable même si Shelley Winters en fait un peu trop.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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