Remarquable

Le Visage de la peur (The Hills Have Eyes)

Name: Visage de la peur, Le
Director: Wes Craven
Genre: Drame d'horreur
Released: 2010-09-10 16:55:14
Duration: 91 min.

Vendredi 10 Mai à 02:30 | Frissons TV

É.-U. 1976. Drame d'horreur de Wes Craven avec Susan Lanier, Robert Houston, Martin Speer. Une famille de dégénérés qui vit à l'état sauvage dans une région désertique s'en prend à des voyageurs égarés. Récit grossier prétexte à une multiplication d'atrocités. Effets appuyés. Interprétation rudimentaire.

Le Visage de la peur (The Hills Have Eyes)

13 ans + (violence, horreur)

É.-U. 1976. Drame d'horreur de Wes Craven avec Susan Lanier, Robert Houston, Martin Speer.

Une famille de dégénérés qui vit à l'état sauvage dans une région désertique s'en prend à des voyageurs égarés. Récit grossier prétexte à une multiplication d'atrocités. Effets appuyés. Interprétation rudimentaire.

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Genre :

Drame d'horreur

Année :

1976

Durée :

91 min.

Réalisation :

Wes Craven

Scénario :

Wes Craven

Photographie :

Eric Saarinen

Musique :

Don Peake

Montage :

Wes Craven

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Astral

Interprètes :

Susan Lanier
Robert Houston
Martin Speer
John Steadman
Janus Blythe
Dee Wallace
Michael Berryman
Peter Locke

Un policier à la retraite entraîne sa femme, son fils, ses deux filles et son gendre dans un voyage vers la Californie. En voulant visiter un coin perdu où il a fait son service militaire, il tombe en panne dans une région déserte. Une famille de dégénérés qui vit à l'état sauvage dans les environs s'en prend aux voyageurs égarés. Le père, la mère et l'une des filles sont tués mais les survivants de ces attaques féroces arrivent à trouver le moyen de vaincre leurs assaillants.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Comme il l'a prouvé dans un film précédent, LAST HOUSE ON THE LEFT, le seul moyen que connaisse Wes Craven pour créer un semblant de tension c'est de multiplier les atrocités. Gros plans sur les chairs sanguinolentes, viol brutal et autres délicatesses du même acabit sont donc au rendez-vous dans un récit conçu et exécuté grossièrement, avec suggestions de cannibalisme à la clef. La mise en scène est toute en effets appuyés et l'interprétation se partage entre la simulation approximative du primitivisme et l'hystérie.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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