Remarquable

Le Marin qui abandonna la mer (The Sailor Who Fell from Grace With the Sea)

Name: Marin qui abandonna la mer, Le
Director: Lewis John Carlino
Genre: Drame psychologique
Duration: 104 min.

G.-B. 1976. Drame psychologique de Lewis John Carlino avec Sarah Miles, Kris Kristofferson, Jonathan Kahn. Un adolescent idéalise un marin puis se révolte contre lui lorsqu'il veut abandonner son métier. Transposition laborieuse d'un roman japonais. Mise en images soignée mais factice. Aspects déroutants. Interprétation valable.

Le Marin qui abandonna la mer (The Sailor Who Fell from Grace With the Sea)

13 ans +

G.-B. 1976. Drame psychologique de Lewis John Carlino avec Sarah Miles, Kris Kristofferson, Jonathan Kahn.

Un adolescent idéalise un marin puis se révolte contre lui lorsqu'il veut abandonner son métier. Transposition laborieuse d'un roman japonais. Mise en images soignée mais factice. Aspects déroutants. Interprétation valable.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1976

Durée :

104 min.

Réalisation :

Lewis John Carlino

Scénario :

Lewis John Carlino
D'après le roman de Yukio Mishima

Photographie :

Douglas Slocombe

Musique :

Johnny Mandel

Montage :

Antony Gibbs

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Astral

Interprètes :

Sarah Miles
Kris Kristofferson
Jonathan Kahn
Margo Cunningham

Le jeune Jonathan Osborne, écolier de treize ans, est le fils d'une veuve qui dirige une boutique dans une ville de la côte du Devonshire. Il appartient à un club secret dirigé par un camarade aux idées élitistes qui exerce sur lui une influence dominatrice. Lorsque sa mère s'éprend d'un officier de la marine marchande, Jonathan se fait du marin une figure idéale et est amèrement déçu lorsque celui-ci parle d'abandonner la mer pour se marier. Il envisage avec ses camarades une solution drastique.

L’AVIS DE MEDIAFILM

En transposant en Angleterre un roman d'un auteur japonais, le scénariste Lewis John Carlino qui en est à sa première expérience de réalisation, n'a pas réussi à en rendre tous les aspects vraisemblables. La philosophie qui s'y exprime est en désaccord avec le contexte et les comportements des personnages acquièrent une bizarrerie trop accentuée. La mise en images a fait l'objet, d'un soin manifeste et l'on sent l'effort déployé pour créer un climat poétique particulier, mais tout cela apparaît plus factice que convaincant. L'interprétation est bonne.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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