La Sentinelle des maudits (The Sentinel)

Name: Sentinelle des maudits, La
Director: Michael Winner
Genre: Drame fantastique
Duration: 93 min.

É.-U. 1976. Drame fantastique de Michael Winner avec Cristina Raines, Chris Sarandon, Arthur Kennedy. Une jeune fille connaît des expériences bizarres dans une vieille maison où elle vient de louer un appartement. Récit abracadabrant et mal construit. Effets plus grotesques qu'épeurants. Interprétation peu convaincante.

La Sentinelle des maudits (The Sentinel)

13 ans + (horreur)

É.-U. 1976. Drame fantastique de Michael Winner avec Cristina Raines, Chris Sarandon, Arthur Kennedy.

Une jeune fille connaît des expériences bizarres dans une vieille maison où elle vient de louer un appartement. Récit abracadabrant et mal construit. Effets plus grotesques qu'épeurants. Interprétation peu convaincante.

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Genre :

Drame fantastique

Année :

1976

Durée :

93 min.

Réalisation :

Michael Winner

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Universal

Interprètes :

Cristina Raines
Chris Sarandon
Arthur Kennedy
Martin Balsam
John Carradine
Jose Ferrer
Ava Gardner
Burgess Meredith
Sylvia Miles
Deborah Raffin
Eli Wallach
Christopher Walken
Jerry Orbach
Beverly d'Angelo

Alison Parker, mannequin en vogue, se loue un appartement dans une vieille maison de Brooklyn. Elle ne tarde pas à y connaître des expériences bizarres et subit une véritable nuit d'horreur dont elle sort secouée. Son fiancé enquête sur les événements. Il découvre que la maison est un lieu maudit et qu'Alison est devenue l'enjeu d'une lutte entre des forces infernales et des représentants de Dieu.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Développant de nouvelles diableries dans le sillage de THE EXORCIST et ROSEMARY'S BABY, ce film déroule un récit abracadabrant et mal construit où des personnages apparaissent et disparaissent sans motif. Le metteur en scène n'est pas arrivé à créer l'atmosphère étrange désirée et sa réalisation en coups de poing semble plus appropriée au genre policier qu'au cinéma fantastique. Les protagonistes manquent de présence et les vedettes invitées jouent leur petit numéro sans trop de conviction. Certains effets apparaissent plus grotesques qu'épeurants.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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