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Death Game

É.-U. 1976. Drame de moeurs de Peter Traynor avec Sondra Locke, Colleen Camp, Seymour Cassel. Un soir de pluie, un homme ouvre sa porte à deux adolescentes supposément égarées qui vont profiter de la situation. Histoire sensationnaliste supposément inspirée d'un fait divers. Récit manquant de substance. Multiplication d'effets gratuits. Réalisation maladroite. Interprétation chargée.

13 ans + (violence)
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Death Game (Death Game)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 1976. Drame de moeurs de Peter Traynor avec Sondra Locke, Colleen Camp, Seymour Cassel.

Un soir de pluie, un homme ouvre sa porte à deux adolescentes supposément égarées qui vont profiter de la situation. Histoire sensationnaliste supposément inspirée d'un fait divers. Récit manquant de substance. Multiplication d'effets gratuits. Réalisation maladroite. Interprétation chargée.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Photographie :
Musique :
Montage :
Pays :
Distributeur :
Astral
Alors que sa femme est absente pour quelques jours, George Manning ouvre sa porte un soir de pluie à deux adolescentes qui se disent égarées. Les deux filles ne tardent pas à prendre leurs aises dans la maison et entraînent George à des jeux érotiques. Lorsque celui-ci veut se débarrasser d'elles, elles le menacent de dénonciation pour détournement de mineures. Elles en viennent à droguer puis à ligoter leur hôte involontaire et ravagent les diverses pièces de la maison. Après avoir tué un garçon livreur, elles condamnent George à mort à l'issue d'un simili-procès.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après avoir produit une couple de films mineurs, Peter Traynor est passé lui-même à la réalisation avec cette histoire à sensations supposément inspirée d'un fait divers. Il semble avoir voulu camoufler son inexpérience tant dans la mise en place des situations que dans la direction des acteurs en multipliant les effets gratuits. Ses artifices apparaissent vite répétitifs et n'arrivent pas à donner le change sur le manque de substance du récit. Les interprètes ont tendance à charger.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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