At the Earth's Core

Name: At the Earth's Core
Director: Kevin Connor
Genre: Science-fiction
Duration: 89 min.

G.-B. 1976. Science-fiction de Kevin Connor avec Doug McClure, Peter Cushing, Caroline Munro. Un savant et un financier parviennent au centre de la Terre à bord d'une foreuse géante et découvrent un étrange monde souterrain. Adaptation d'une oeuvre d'Edgar Rice Burroughs située à l'époque victorienne. Réalisation d'un bonheur inégal. Un certain humour. Interprétation dans le ton du genre.

At the Earth's Core (At the Earth's Core)

Général

G.-B. 1976. Science-fiction de Kevin Connor avec Doug McClure, Peter Cushing, Caroline Munro.

Un savant et un financier parviennent au centre de la Terre à bord d'une foreuse géante et découvrent un étrange monde souterrain. Adaptation d'une oeuvre d'Edgar Rice Burroughs située à l'époque victorienne. Réalisation d'un bonheur inégal. Un certain humour. Interprétation dans le ton du genre.

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Genre :

Science-fiction

Année :

1976

Durée :

89 min.

Réalisation :

Kevin Connor

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Ambassador

Interprètes :

Doug McClure
Peter Cushing
Caroline Munro

Avec l'aide financière d'un mécène américain, David Innes, le professeur Abner Perry a mis au point un appareil en forme de foreuse géante pour explorer le centre de la Terre. À l'occasion de leur première randonnée, les deux hommes aboutissent dans un étrange monde souterrain appelé Pellucidar par ses habitants, des hommes primitifs en butte aux attaques d'êtres monstrueux, les Sagoths. Capturés par les Sagoths, David et le professeur arrivent à s'échapper du repaire des monstres et en organisent l'assaut par les hommes de Pellucidar avant de remonter à la surface de la Terre.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce film est le deuxième d'une série d'adaptations des oeuvres de science-fiction d'Edgar Rice Burroughs, le père de Tarzan. Même si on y retrouve le protagoniste du précédent, THE LAND THAT TIME FORGOT, le sujet est différent et le scénariste a eu l'heureuse idée de le situer à l'époque victorienne, ce qui lui confère une amusante désuétude, du moins au début. Les êtres monstrueux qui dominent le gros de l'histoire sont conçus et animés avec un bonheur inégal, mais l'ensemble retient l'attention en dépit de simplifications exagérées. Un certain humour donne du piquant à diverses scènes notamment celles où paraît Peter Cushing.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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