Né pour l'enfer

Name: Né pour l'enfer
Director: Denis Héroux
Genre: Drame policier
Duration: 90 min.

Can. 1975. Drame policier de Denis Héroux avec Mathieu Carrière, Carole Laure, Myriam Boyer. À Belfast, un Américain, déserteur du Vietnam, massacre plusieurs infirmières habitant un même appartement. Transposition artificielle d'un incident réel. Mise en scène morne et conventionnelle. Interprétation peu convaincante.

Né pour l'enfer (Né pour l'enfer)

18 ans + (violence, érotisme)

Can. 1975. Drame policier de Denis Héroux avec Mathieu Carrière, Carole Laure, Myriam Boyer.

À Belfast, un Américain, déserteur du Vietnam, massacre plusieurs infirmières habitant un même appartement. Transposition artificielle d'un incident réel. Mise en scène morne et conventionnelle. Interprétation peu convaincante.

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Genre :

Drame policier

Année :

1975

Durée :

90 min.

Réalisation :

Denis Héroux

Pays :

Canada
Québec

Distributeur :

Films Mutuels

Producteurs :

Interprètes :

Mathieu Carrière
Carole Laure
Myriam Boyer

Un Américain, déserteur du Vietnam, débarque à Belfast en Irlande alors que sévissent des escarmouches entre Catholiques et Protestants. Il vit d'expédients jusqu'au jour où il est attiré par une infirmière, Emmy, qui lui rappelle sa femme dont il est séparé. Emmy vit avec six compagnes dans un appartement. L'Américain s'y introduit de nuit pour voler et terrorise les infirmières qu'il ligote. Il cherche à s'imposer à Emmy et la tue dans un moment de rage. Après quoi il assassine toutes ses compagnes sauf une qui réussit à se cacher.

L’AVIS DE MEDIAFILM

S'inspirant d'un incident survenu à Chicago, cette coproduction transpose de façon gratuite les données de l'affaire dans le climat des troubles irlandais. L'introduction traîne en longueur et n'apporte rien de particulièrement éclairant tant sur le meurtrier que sur ses victimes. La séquence la plus importante, celle du meurtre collectif, est elle-même conduite de façon morne et conventionnelle dans une mise en images et un montage dénués d'esprit d'invention. L'interprétation n'apparaît guère convaincante.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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