Remarquable

Mansion of the Doomed

Name: Mansion of the Doomed
Director: Michael Pataki
Genre: Drame d'horreur
Released: 2010-08-23 15:45:37
Duration: 86 min.

É.-U. 1975. Drame d'horreur de Michael Pataki avec Richard Basehart, Gloria Grahame, Trish Stevens. Sa fille ayant perdu la vue, un éminent chirurgien entreprend de la guérir par une greffe des yeux qu'il opère en prélevant les organes nécessaires sur une personne vivante. Récit convenu avec effets attendus. Maquillage assez habile. Caractérisation des personnages faible. Acteurs livrés à eux-mêmes.

Mansion of the Doomed (Mansion of the Doomed)

13 ans +

É.-U. 1975. Drame d'horreur de Michael Pataki avec Richard Basehart, Gloria Grahame, Trish Stevens.

Sa fille ayant perdu la vue, un éminent chirurgien entreprend de la guérir par une greffe des yeux qu'il opère en prélevant les organes nécessaires sur une personne vivante. Récit convenu avec effets attendus. Maquillage assez habile. Caractérisation des personnages faible. Acteurs livrés à eux-mêmes.

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Genre :

Drame d'horreur

Année :

1975

Durée :

86 min.

Réalisation :

Michael Pataki

Scénario :

Frank Ray Perilli

Photographie :

Andrew Davis

Musique :

Robert O. Ragland

Montage :

Harry Keramidas

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Astral

Interprètes :

Richard Basehart
Gloria Grahame
Trish Stevens
Lance Henriksen
Al Ferrara
JoJo D'Amore
Donna Andresen
Marilyn Joi

La fille d'un éminent chirurgien, Nancy Chaney, est blessée au visage dans un accident d'auto et perd la vue. Son père entreprend de la guérir par une greffe des yeux qu'il opère en prélevant les organes nécessaires sur une personne vivante. L'opération réussit et Nancy recouvre la vue, mais le succès n'est que temporaire. Le docteur Chaney reprend plusieurs fois l'expérience et enferme les victimes de ces opérations dans la cave de sa demeure. Lorsque Nancy découvre la vérité, elle libère les prisonniers qui réservent un mauvais sort à leur tourmenteur.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce film d'horreur à budget modeste reprend avec quelques modifications les données de base d'un film de Georges Franju, LES YEUX SANS VISAGE. Ce qu'il n'arrive pas à reproduire, c'est l'aura poétique qu'avait su créer le cinéaste français. Le réalisateur est un acteur de second plan qui est passé derrière la caméra et s'est contenté de raconter banalement son histoire avec les effets attendus et l'aide d'un maquilleur suffisamment habile. Tout cela ne va pas loin ni dans l'originalité du traitement ni dans la caractérisation des personnages. Les acteurs font ce qu'ils peuvent.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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