Les Monstres du continent perdu (Mekagojira no gyakushu)

Name: Monstres du continent perdu, Les
Director: Ishiro Honda
Genre: Science-fiction
Duration: 83 min.

Jap. 1975. Science-fiction de Ishiro Honda avec Katsuhiko Sasaki, Tomoko Ai, Akihika Hirata. Godzilla protège le Japon contre l'attaque de monstres gigantesques. Scénario plutôt simpliste. Mise en scène assez ingénieuse. Décors artificiels. Interprétation peu convaincante.

Les Monstres du continent perdu (Mekagojira no gyakushu)

Général

Jap. 1975. Science-fiction de Ishiro Honda avec Katsuhiko Sasaki, Tomoko Ai, Akihika Hirata.

Godzilla protège le Japon contre l'attaque de monstres gigantesques. Scénario plutôt simpliste. Mise en scène assez ingénieuse. Décors artificiels. Interprétation peu convaincante.

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Genre :

Science-fiction

Année :

1975

Durée :

83 min.

Réalisation :

Ishiro Honda

Pays :

Japon

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Katsuhiko Sasaki
Tomoko Ai
Akihika Hirata

Un sous-marin expérimental est détruit par un monstre préhistorique surgi du fond des mers, le Titanosaure. Un agent de l'Interpol, Murakoshi, et un jeune savant, Ichinose, s'en vont consulter le vieux professeur Mafune, qui avait jadis affirmé l'existence d'un tel monstre sans être cru. Mais celui-ci a mis ses connaissances au service d'extra-terrestres qui lui ont fait construire un robot géant semblable au monstre Godzilla. Le Titanosaure et le robot montent à l'assaut du Japon, mais Godzilla lui-même intervient.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Honda et ses imitateurs n'en finissent plus de peupler l'écran de monstres géants et l'on s'étonne, devant leurs déprédations, qu'il reste encore quelques maisons en place à Tokyo d'un film à l'autre. Cela se termine par un affrontement bruyant entre des cascadeurs revêtus de costumes encombrants au milieu de maquettes évidentes. Le tout relève d'une conception simpliste du cinéma de science-fiction même si l'on décèle une certaine ingéniosité dans la mise en scène. Le réalisateur ne semble d'ailleurs pas se prendre plus au sérieux qu'il ne faut.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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