Remarquable

La Cécilia

Name: Cécilia, La
Director: Jean-Louis Comolli
Genre: Drame
Duration: 108 min.

Fr. 1975. Drame de Jean-Louis Comolli avec Maria Carta, Massimo Foschi, Vittorio Mezzogiorno. En 1887, l'expérience d'un groupe d'anarchistes italiens venus fonder une commune libertaire au Brésil. Récit fluide. Tableau à la fois réaliste et poétique. Interprétation sobre et vivante.

La Cécilia (La Cécilia)

Général

Fr. 1975. Drame de Jean-Louis Comolli avec Maria Carta, Massimo Foschi, Vittorio Mezzogiorno.

En 1887, l'expérience d'un groupe d'anarchistes italiens venus fonder une commune libertaire au Brésil. Récit fluide. Tableau à la fois réaliste et poétique. Interprétation sobre et vivante.

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Genre :

Drame

Année :

1975

Durée :

108 min.

Réalisation :

Jean-Louis Comolli

Scénario :

Jean-Louis Comolli
Eduardo de Gregorio
Marianne di Vettimo

Photographie :

Yann Le Masson

Musique :

Michel Portal

Montage :

Claudio Biondi

Pays :

France
Italie

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Maria Carta
Massimo Foschi
Vittorio Mezzogiorno
Mario Bussolino
Beppe Loparco
Giuliano Petrelli
Bruno Cattaneo
Piero di Jori
Gabriele Tozzi
Giancarlo Pannese
Biagio Pelligra
Francesca Libertucci
Renato Pereira

En 1897, l'empereur du Brésil offre asile à un groupe d'anarchistes italiens et leur fait don d'un grand terrain où ils pourront mettre en pratique leurs théories libertaires. Dix hommes et une femme s'y installent sous la direction de l'écrivain Giovanni Rossi. Après une année de culture, Rossi retourne en Europe pour y donner des conférences et recruter de nouveaux adhérents. Pendant son absence, l'empereur meurt et les conséquences de ce décès créent des conflits dans la communauté.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Rédacteur aux "Cahiers du Cinéma", Jean-Louis Comolli aborde la réalisation avec des exigences certaines. Si la forme est plutôt classique, le sujet est très engagé, évoquant en termes tantôt sympathiques tantôt critiques les aléas d'une expérience authentique teintée d'illusions utopiques. La beauté du décor naturel donne du charme à un traitement plutôt austère. Un humour discret allège certains développements et l'interprétation est à la fois sobre et vivante.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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