Il n'y a pas d'oubli

Name: Il n'y a pas d'oubli
Director: Rodrigo Gonzáles, Marilú Mallet, Jorge Fajardo
Genre: Film à sketches
Duration: 100 min.

Can. 1975. Film à sketches de Rodrigo Gonzáles, Marilú Mallet, Jorge Fajardo avec Enrique Sandoval, Lucia Barahona, Manuel Aranguiz. Les problèmes d'adaptation de réfugiés chiliens établis au Québec. Réflexion sociale alimentée par une expérience vécue. Traitement sobre. Passages prenants. Interprétation retenue. (sortie en salle: 11 novembre 1975)

Il n'y a pas d'oubli (Il n'y a pas d'oubli)

Général

Can. 1975. Film à sketches de Rodrigo Gonzáles, Marilú Mallet, Jorge Fajardo avec Enrique Sandoval, Lucia Barahona, Manuel Aranguiz.

Les problèmes d'adaptation de réfugiés chiliens établis au Québec. Réflexion sociale alimentée par une expérience vécue. Traitement sobre. Passages prenants. Interprétation retenue. (sortie en salle: 11 novembre 1975)

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Genre :

Film à sketches

Année :

1975

Durée :

100 min.

Réalisation :

Rodrigo Gonzáles
Marilú Mallet
Jorge Fajardo

Pays :

Canada
Québec

Distributeur :

ONF

Producteurs :

Interprètes :

Enrique Sandoval
Lucia Barahona
Manuel Aranguiz

1. "J'explique certaines choses" : Un vieux professeur chilien meurt en exil au Canada, au milieu de quelques disciples, des suites de son internement dans les prisons de la junte militaire. 2. "Lentement": Tout en cherchant à s'intégrer dans un nouveau milieu social, Lucia ne peut arriver à oublier les tortures morales et physiques qu'elle a subies au Chili. 3. "Jours de fer": Un jeune intellectuel déraciné doit faire l'apprentissage du dur travail d'ouvrier dans une usine de laminage du Québec.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'Office National du Film a donné à trois jeunes cinéastes chiliens en exil l'occasion de continuer à s'exprimer par le moyen du cinéma. Le triptyque qui en résulte est animé par un esprit commun de réflexion sur les circonstances et les difficultés d'adaptation d'une transplantation subie plutôt que voulue. Un traitement d'ensemble sobre évite le pathétique facile et chacun des metteurs en scène fait montre d'un talent certain. L'interprétation est dans le ton voulu.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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