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Dernier Arrêt du train de nuit (L'Ultimo Treno della Notte)

It. 1975. Drame de Aldo Lado avec Enrico Maria Salerno, Macha Méril, Flavio Bucci. Après avoir tué deux jeunes filles dans un train, une femme perverse et deux voyous sont soignés par le père d'une des deux victimes qui, apprenant la vérité, décide de se venger. Intrigue peu crédible prétexte à accumulation d'effets à sensation. Mise en scène lourde et insistante. Interprétation fausse.

13 ans + (violence)
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Dernier Arrêt du train de nuit (L'Ultimo Treno della Notte)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

It. 1975. Drame de Aldo Lado avec Enrico Maria Salerno, Macha Méril, Flavio Bucci.

Après avoir tué deux jeunes filles dans un train, une femme perverse et deux voyous sont soignés par le père d'une des deux victimes qui, apprenant la vérité, décide de se venger. Intrigue peu crédible prétexte à accumulation d'effets à sensation. Mise en scène lourde et insistante. Interprétation fausse.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Distributeur :
France-Film
La fille d'un chirurgien italien, Elisa Stradi, rentre par le train chez ses parents en compagnie d'une amie après avoir passé quelque temps en Allemagne. Après un transfert imprévu, les deux compagnes se retrouvent dans un compartiment isolé en compagnie de deux voyous et d'une femme perverse. Forcées de participer à des jeux érotiques, les deux jeunes filles finissent par trouver une mort atroce. Le hasard fait qu'au terme du voyage la femme, blessée par accident, soit soignée par le père de Lisa et accueillie chez lui avec ses deux compagnons. Le chirurgien apprend la mort de son enfant, devine l'identité des assassins et se venge cruellement.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Comme un film américain du même acabit, LAST HOUSE ON THE LEFT, cette production italienne emprunte l'essentiel de son récit à LA SOURCE d'Ingmar Bergman. Mais le thème est dépouillé ici de ses dimensions légendaires et métaphysiques pour servir de prétexte à l'accumulation d'effets à sensation. La vraisemblance est mise à rude épreuve et la mise en scène se fait lourde et insistante. La prétention de créer un climat de cauchemar n'aboutit qu'à un salmigondis indigeste. L'interprétation sonne faux.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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