Remarquable

Le Jardin qui bascule

Name: Jardin qui bascule, Le
Director: Guy Gilles
Genre: Drame psychologique
Duration: 80 min.

Fr. 1974. Drame psychologique de Guy Gilles avec Patrick Jouané, Delphine Seyrig, Sami Frey. Un jeune criminel s'éprend de la femme qu'il a reçu mission de tuer. Exercice de style s'apparentant à un rêve éveillé. Images d'une grande beauté mais souvent gratuites. Interprétation un peu froide.

Le Jardin qui bascule (Le Jardin qui bascule)

Général

Fr. 1974. Drame psychologique de Guy Gilles avec Patrick Jouané, Delphine Seyrig, Sami Frey.

Un jeune criminel s'éprend de la femme qu'il a reçu mission de tuer. Exercice de style s'apparentant à un rêve éveillé. Images d'une grande beauté mais souvent gratuites. Interprétation un peu froide.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1974

Durée :

80 min.

Réalisation :

Guy Gilles

Scénario :

Guy Gilles

Photographie :

Jean-François Robin

Musique :

Marc Hillman
Jean-Pierre Stora

Montage :

Hélène Viard

Pays :

France

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Patrick Jouané
Delphine Seyrig
Sami Frey
Philippe Chemin
Anouk Ferjac
Guy Bedos
Jeanne Moreau
Caroline Cartier
Howard Vernon
Pierre Fabre
Jean-Marie Proslier

Le jeune Karl vend ses services en tant que tueur à gages. Chargé de tuer une femme, Kate, il prend quelque temps pour observer ses allées et venues. Il est même invité à séjourner quelque temps dans la villa de province où elle habite avec un ami. Peu à peu, Karl s'éprend de Kate et celle-ci répond à son amour. Même lorsqu'elle le renvoie par la suite, Karl n'arrive pas à se décider à accomplir sa mission. Il finit par s'y résoudre et est tué à son tour.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'intrigue vaguement policière n'est ici qu'un prétexte qui permet à Guy Gilles (ABSENCES RÉPÉTÉES) un nouvel essai poétique où il poursuit ses thèmes habituels: le temps qui passe, l'amour entre partenaires de milieux et d'âges différents. Alignant des images d'une grande beauté, comme souvent d'une grande gratuité, le film prend l'aspect d'un exercice de style s'apparentant à un rêve éveillé. L'histoire est complètement oubliée pour être rattrapée à la fin en un raccourci saisissant. Au sein d'une interprétation quelque peu froide, Delphine Seyrig fait montre de son charme habituel.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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