Remarquable

Le Hasard et la violence

Name: Hasard et la violence, Le
Director: Philippe Labro
Genre: Drame
Duration: 83 min.

Fr. 1974. Drame de Philippe Labro avec Yves Montand, Katharine Ross, Riccardo Cucciolla. Victime d'une agression, un écrivain est soigné par une jeune femme-médecin dont il s'éprend. Évocation de malaises contemporains. Propos ambitieux mais réalisation factice. Surcharge d'éléments gratuits et conventionnels. Interprétation peu convaincante.

Le Hasard et la violence (Le Hasard et la violence)

Général

Fr. 1974. Drame de Philippe Labro avec Yves Montand, Katharine Ross, Riccardo Cucciolla.

Victime d'une agression, un écrivain est soigné par une jeune femme-médecin dont il s'éprend. Évocation de malaises contemporains. Propos ambitieux mais réalisation factice. Surcharge d'éléments gratuits et conventionnels. Interprétation peu convaincante.

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Genre :

Drame

Année :

1974

Durée :

83 min.

Réalisation :

Philippe Labro

Scénario :

Philippe Labro
Jacques Lanzmann

Photographie :

André Domage

Musique :

Michel Colombier

Montage :

Thierry Derocles

Pays :

France
Italie

Distributeur :

Films Mutuels

Interprètes :

Yves Montand
Katharine Ross
Riccardo Cucciolla
Antonio Casagrande
Catherine Allégret
Sergio Fantoni
Jean-Claude Dauphin
Giuseppe Addobbati
Riccardo Mangano
Corinne Puccar
Massimo De Rossi

Auteur d'un essai sur la violence, Laurent Berman se cherche une villa dans une ville de la Côte d'Azur pour y continuer ses travaux. Victime d'un assaut, il refuse de porter plainte mais doit se faire soigner. C'est une femme-médecin, Constance Weber, qui s'occupe de lui et l'amour ne tarde pas à naître entre eux. Laurent est de nouveau confronté à la violence en diverses occasions. En voulant défendre Constance importunée sur une plage par des voyous, il est lui-même frappé à mort.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le réalisateur Philippe Labro a voulu faire un film où se reflètent le besoin d'amour et l'éruption de violence qui se manifestent dans le monde contemporain. Le film n'atteint pas à la hauteur de ce propos ambitieux et se perd dans une diversité d'éléments disparates rassemblés de façon arbitraire. La mise en images, pour soignée qu'elle soit, apparaît plus factice qu'efficace et comporte trop d'éléments gratuits ou conventionnels. Yves Montand a de la présence, mais n'arrive pas à donner vraiment vie à son personnage.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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