Remarquable

La Paloma

Name: Paloma, La
Director: Daniel Schmid
Genre: Mélodrame
Duration: 107 min.

Suis. 1974. Mélodrame de Daniel Schmid avec Ingrid Caven, Peter Kern, Peter Chatel. La destinée tragique d'une chanteuse devenue l'épouse d'un aristocrate. Parodie expressionniste des mélodrames romantiques. Exercice de style fertile en images baroques. Interprétation volontairement outrancière.

La Paloma (La Paloma)

En attente de classement

Suis. 1974. Mélodrame de Daniel Schmid avec Ingrid Caven, Peter Kern, Peter Chatel.

La destinée tragique d'une chanteuse devenue l'épouse d'un aristocrate. Parodie expressionniste des mélodrames romantiques. Exercice de style fertile en images baroques. Interprétation volontairement outrancière.

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Genre :

Mélodrame

Année :

1974

Durée :

107 min.

Réalisation :

Daniel Schmid

Scénario :

Daniel Schmid

Photographie :

Renato Berta

Musique :

Gottfried Hüngsberg

Montage :

Ila von Hasperg

Pays :

Suisse
France

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Ingrid Caven
Peter Kern
Peter Chatel
Bulle Ogier
Jérôme Nicolin
Béatrice Stoll
Ludmilla Tucek
Manon
Irene Olgiatti
Pierre Edernac

site officiel

Une chanteuse sur le déclin, Viola Stump dite La Paloma, accepte d'épouser un fervent admirateur, le jeune comte Isidor Palewski. Après avoir trompé celui-ci avec son meilleur ami Raoul, elle demande à son mari de financer son départ avec son amant. Lorsqu'il refuse, elle se replie sur elle-même et meurt peu après. Trois ans après le décès, Isidor convoque Raoul pour une cérémonie de translation des restes qui donne lieu à des débordements tragiques.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Oeuvre étrange versant dans la démesure et illustrée dans un style volontairement kitsch, LA PALOMA se présente comme une parodie expressionniste des mélodrames qui ont nourri un certain romantisme à l'allemande. Le réalisateur Daniel Schmid prend d'ailleurs la peine de situer toute l'action dans l'imagination fébrile d'un de ses personnages. L'ensemble constitue un exercice de style fertile en images baroques et servi par un décor rococo dont les détails ont été judicieusement agencés. L'interprétation participe intelligemment au ton excessif de l'ensemble.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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