Remarquable

La Jeune Fille assassinée

Name: Jeune Fille assassinée, La
Director: Roger Vadim
Genre: Drame de moeurs
Released: 2010-07-14 10:44:39
Duration: 100 min.

Fr. 1974. Drame de moeurs de Roger Vadim avec Roger Vadim, Sirpa Lane, Mathieu Carrière. Dans le but d'en tirer un livre, un écrivain enquête sur la vie d'une de ses anciennes maîtresses, dont l'assassinat récent est resté entouré de mystère. Scénario ténu et s'étirant en mornes développements gratuits. Décors luxueux. Photographie soignée. Réalisation technique compétente. Jeu monocorde de S. Lane.

La Jeune Fille assassinée (La Jeune Fille assassinée)

18 ans +

Fr. 1974. Drame de moeurs de Roger Vadim avec Roger Vadim, Sirpa Lane, Mathieu Carrière.

Dans le but d'en tirer un livre, un écrivain enquête sur la vie d'une de ses anciennes maîtresses, dont l'assassinat récent est resté entouré de mystère. Scénario ténu et s'étirant en mornes développements gratuits. Décors luxueux. Photographie soignée. Réalisation technique compétente. Jeu monocorde de S. Lane.

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Genre :

Drame de moeurs

Année :

1974

Durée :

100 min.

Réalisation :

Roger Vadim

Scénario :

Roger Vadim
Stash Klossowski

Photographie :

Pierre-William Glenn

Musique :

Mike Olfield

Montage :

Victoria Mercanton

Pays :

France
Italie
Allemagne

Distributeur :

France-Film

Interprètes :

Roger Vadim
Sirpa Lane
Mathieu Carrière
Michel Duchaussoy
Alexandre Astruc
Anne-Marie Deschodt
Elisabeth Wiener
Thérèse Liotard
Sabine Glaser
Anthony Steffen

Pour en tirer un livre, l'écrivain Georges Viguier enquête sur la vie d'une ancienne maîtresse, Charlotte, dont l'assassinat récent est resté entouré de mystère. Il apprend que Charlotte, après son mariage avec un critique de cinéma homosexuel, Serge Borelli, a entretenu des relations perverses avec Erik von Schellenberg, fils d'un diplomate allemand. Erik se vante auprès de Georges d'être le meurtrier impuni de Charlotte et lui raconte les circonstances du crime.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Avec ce nouveau film, Roger Vadim poursuit son exploration des perversions d'une société décadente dont il situe les manifestations dans des décors luxueux photographiés avec une certaine élégance superficielle. Le scénario qui soutient ces variations est cependant ténu et s'étire en mornes développements gratuits. Sirpa Lane, dernière "découverte" du réalisateur, a un jeu monocorde et une diction hésitante. Parmi ses partenaires, seul Michel Duchaussoy joue avec quelque conviction.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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