Isabelle devant le désir

Name: Isabelle devant le désir
Director: Jean-Pierre Berckmans
Genre: Drame psychologique
Duration: 93 min.

Bel. 1974. Drame psychologique de Jean-Pierre Berckmans avec Anicée Alvina, Mathieu Carrière, Jean Rochefort. Les difficultés sentimentales d'une jeune fille traumatisée dans son enfance. Mise en scène appliquée. Évocation d'époque assez réussie. Ensemble peu convaincant. Interprétation valable d'A. Alvina.

Isabelle devant le désir (Isabelle devant le désir)

13 ans +

Bel. 1974. Drame psychologique de Jean-Pierre Berckmans avec Anicée Alvina, Mathieu Carrière, Jean Rochefort.

Les difficultés sentimentales d'une jeune fille traumatisée dans son enfance. Mise en scène appliquée. Évocation d'époque assez réussie. Ensemble peu convaincant. Interprétation valable d'A. Alvina.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1974

Durée :

93 min.

Réalisation :

Jean-Pierre Berckmans

Scénario :

Jean-Pierre Berckmans
Jacques De Decker
D'après le roman de Maud Frère

Photographie :

Henri Decaë

Musique :

Claude Luter
Yannick Singery

Montage :

Marie-Josèphe Yoyotte
Monique Lebrun
Pierre Joassin

Pays :

Belgique
France

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Anicée Alvina
Mathieu Carrière
Jean Rochefort
Annie Cordy
Francine Blistin
Marie-Clémence Meerschaut
Étienne Samson
Catalina de Bergeyck
Philippe Van Kessel
Sophie Barjac
Jean-Marie Degesves
Évelyne Berckmans

La jeune vie d'Isabelle a été marquée par deux événements dramatiques: lorsqu'elle était encore fillette, son père s'est suicidé et à seize ans, elle a été violée par un soldat allemand. En 1950, Isabelle a vingt ans et travaille dans la boutique d'un photographe marchand de disques. Elle fait la connaissance de Luc, fils d'un diplomate, dont elle devient la maîtresse. Déçue par l'égoïsme de celui-ci, elle s'intéresse à son patron dont la femme est malade. Mais cette nouvelle liaison la déçoit aussi.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il est possible que la romancière ait su par le style et l'approche créer de l'intérêt chez le lecteur pour les tourments dans lesquels se complaît l'héroïne. Ce qui est sûr, c'est que le réalisateur du film, en dépit d'une application évidente, n'a pas insufflé à son sujet une vie suffisante. L'évocation de l'époque est assez réussie et certains personnages, tel celui qu'interprète Jean Rochefort, ont une certaine épaisseur, mais l'ensemble n'accroche pas. Anicée Alvina ne manque pourtant pas de charme.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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