Deux grandes gueules (Il Bestione)

Name: Deux grandes gueules
Director: Sergio Corbucci
Genre: Comédie dramatique
Duration: 100 min.

It. 1974. Comédie dramatique de Sergio Corbucci avec Giancarlo Giannini, Michel Constantin, Giuseppe Maffioli. Lorsque son coéquipier habituel lui fait défaut, un routier d'expérience doit accepter un jeune Sicilien comme assistant. Scénario plutôt décousu. Quelques bonnes observations de moeurs. Solide séquence de suspense. Mise en scène souple et vivante. Interprétation de talent.

Deux grandes gueules (Il Bestione)

13 ans +

It. 1974. Comédie dramatique de Sergio Corbucci avec Giancarlo Giannini, Michel Constantin, Giuseppe Maffioli.

Lorsque son coéquipier habituel lui fait défaut, un routier d'expérience doit accepter un jeune Sicilien comme assistant. Scénario plutôt décousu. Quelques bonnes observations de moeurs. Solide séquence de suspense. Mise en scène souple et vivante. Interprétation de talent.

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Genre :

Comédie dramatique

Année :

1974

Durée :

100 min.

Réalisation :

Sergio Corbucci

Scénario :

Luciano Vincenzoni
Sergio Donati

Photographie :

Giuseppe Rotunno

Musique :

Guido De Angelis
Maurizio De Angelis

Montage :

Eugenio Alabiso

Pays :

Italie
France

Distributeur :

Warner Bros.

Interprètes :

Giancarlo Giannini
Michel Constantin
Giuseppe Maffioli
Giuliana Calandra
Dalila Di Lazzaro
Enzo Fiermonte
Jole Fierro
Philippe Hersent
Carlo Gaddi
Gabriella Giorgelli
Attilio Duse
Anna Mazzamauro

Lorsque son coéquipier habituel lui fait défaut, un routier d'expérience, Sandro, doit accepter comme assistant un jeune Sicilien, Nino. Les rapports initiaux entre les deux hommes ne sont pas des plus faciles, mais ils finissent par se prendre d'une solide amitié. À tel point que Nino convainc Sandro de partir ensemble leur propre entreprise de transport. Leur premier contrat les entraîne dans des difficultés avec des collègues en grève et des représentants de la mafia.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le monde particulier des routiers se révèle assez photogénique et les immenses camions de quinze tonnes ont une indéniable présence. Pour décousu qu'il soit, le scénario présente quelques bonnes observations de moeurs et comporte en conclusion une solide séquence de suspense. La mise en scène, souple et vivante, laisse poindre à l'occasion quelques préoccupations sociales. Le jeu truculent de Giancarlo Giannini et la présence solide de Michel Constantin contribuent fortement à l'impression d'ensemble.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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