Les données psychologiques et sociologiques du sujet, pourtant fascinantes, ne sont qu'effleurées pour laisser place à une suite de scènes controuvées où les chauves-souris prennent le pas sur les humains. Même si certains passages sont assez réussis dans une perspective horrifique, l'ensemble n'en demeure pas moins fort artificiel. Les personnages sont dessinés de façon schématique et interprétés avec plus ou moins de conviction.
Texte : Robert-Claude Bérubé