Certains films de Hong Kong présentés à l'occasion de la vogue du karaté ont l'air d'avoir été tournés en partie au cours d'une panne d'électricité. C'est le cas de celui-ci qui présente des scènes de combat se déroulant dans la pénombre. Par ailleurs, la mise en scène se borne à régler les échanges de coups qui se succèdent à une cadence rapide. L'interprétation se résume trop souvent à un concours de cabrioles.
Texte : Robert-Claude Bérubé