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Les Décimales du futur (The Last Days of Man on Earth)

Name: Décimales du futur, Les
Director: Robert Fuest
Genre: Science-fiction
Duration: 73 min.

G.-B. 1973. Science-fiction de Robert Fuest avec Jon Finch, Jenny Runacre, Graham Crowden. Après la mort de son père qui a légué des notes d'une importance fondamentale, un jeune savant doit lutter contre son frère pour récupérer un microfilm. Intrigue confuse. Développements arbitraires. Conception visuelle astucieuse. Interprétation dotée d'un certain panache.

Les Décimales du futur (The Last Days of Man on Earth)

Général

G.-B. 1973. Science-fiction de Robert Fuest avec Jon Finch, Jenny Runacre, Graham Crowden.

Après la mort de son père qui a légué des notes d'une importance fondamentale, un jeune savant doit lutter contre son frère pour récupérer un microfilm. Intrigue confuse. Développements arbitraires. Conception visuelle astucieuse. Interprétation dotée d'un certain panache.

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Genre :

Science-fiction

Année :

1973

Durée :

73 min.

Réalisation :

Robert Fuest

Scénario :

Robert Fuest
D'après le roman de Michael Moorcock

Photographie :

Norman Warwick

Musique :

Paul Beaver
Bernard Krause

Montage :

Barrie Vince

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Ciné Maison Royale

Interprètes :

Jon Finch
Jenny Runacre
Graham Crowden
Sterling Hayden
Patrick Magee
Hugh Griffith
Harry Andrews
Julie Ege
George Coulouris
Basil Henson
Derrick O'Connor

Après la mort de son père, un jeune savant, Jerry Cornélius, accepte de récupérer un microfilm qui aiderait un groupe de collègues à poursuivre les recherches du défunt. Pour ce faire, il doit lutter contre son frère Frank, le poursuivre jusqu'en Turquie et le tuer. Les notes reproduites sur le microfilm permettent la création d'une nouvelle forme humaine capable de résister aux radiations atomiques et de survivre à un holocauste inévitable. Jerry sert lui-même de cobaye à cette expérience.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le réalisateur Robert Fuest continue à faire montre, dans ce film de science-fiction, du goût pour les situations et décors fantastiquement baroques qu'il avait déjà manifesté dans ses deux films centrés sur le personnage du Docteur Phibes. Cette préoccupation prend même le pas sur l'action qui apparaît le plus souvent confuse et développée de façon plus arbitraire que logique. Si la conception visuelle se révèle astucieuse, l'intérêt a pourtant de la difficulté à se maintenir. Les interprètes jouent avec un certain panache.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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