Déjà réalisateur d'un film tiré d'une pièce d'Arrabal, LE GRAND CÉRÉMONIAL, Jolivet semble avoir voulu traiter dans le même style tarabiscoté son adaptation du roman de Xavière, censément basé sur une expérience vécue. Les recherches esthétiques et le jeu avec la continuité temporelle confèrent à l'ensemble un ton d'artificialité prétentieuse. Le jeu maladroit de Karin Schubert ajoute à cette impression.
Texte : Robert-Claude Bérubé