La Grande Paulette

Name: Grande Paulette, La
Director: Gérald Calderon
Genre: Comédie satirique
Duration: 75 min.

Fr. 1973. Comédie satirique de Gérald Calderon avec Michael Lonsdale, Catherine Samie, Didier Kaminka. Des époux sans enfants achètent une poupée gonflable qu'ils traitent comme une personne vivante. Situations ahurissantes abordées avec sang-froid. Manque de rythme. Réalisation inégale. Interprétation pince-sans-rire.

La Grande Paulette (La Grande Paulette)

Général

Fr. 1973. Comédie satirique de Gérald Calderon avec Michael Lonsdale, Catherine Samie, Didier Kaminka.

Des époux sans enfants achètent une poupée gonflable qu'ils traitent comme une personne vivante. Situations ahurissantes abordées avec sang-froid. Manque de rythme. Réalisation inégale. Interprétation pince-sans-rire.

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Genre :

Comédie satirique

Année :

1973

Durée :

75 min.

Réalisation :

Gérald Calderon

Scénario :

Didier Kaminka
Gérald Calderon

Photographie :

Pierre Guéguen

Musique :

Georges Prost

Pays :

France

Distributeur :

Prima Film

Interprètes :

Michael Lonsdale
Catherine Samie
Didier Kaminka
Nicole Jamet
Yves Barsacq
Georges Beller
Yves Robert
Luis Rego
Hélène Coupeau

Mariés depuis quelques années, Paul et Denise n'ont pas d'enfants. Pour combler leur solitude à deux, ils imaginent d'acheter une poupée gonflable grandeur nature. Ils l'appellent Paulette, la traitent comme une personne vivante et l'emmènent avec eux en vacances. La présence de Paulette donne naissance à des incidents bizarres, notamment lorsque le couple, l'imaginant malade, la fait traiter par un jeune médecin farfelu. Celui-ci les entraîne dans une séance d'hypnotisme qui a de curieux résultats.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Auteur de documentaires d'esprit scientifique, LE GRAND SECRET et BESTIAIRE D'AMOUR, Gérard Calderon aborde le film de fiction avec une surprenante comédie se situant dans la lignée du théâtre de l'absurde. Le scénario multiplie les situations ahurissantes que les personnages affrontent avec un sang-froid imperturbable, le rythme aurait gagné cependant à être un peu plus vif car en dépit de la durée relativement courte du film, on sent que la sauce s'allonge un peu trop. Pour réjouissante qu'elle apparaisse au premier abord, l'interprétation finit par devenir monotone.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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