Comme dans son film précédent, L'APPEL DE LA CHAIR, Miraglia teinte une intrigue policière de touches fantastiques artificielles qui se révèlent d'ailleurs un leurre, comme on pouvait s'y attendre. La mise en images est encombrée d'effets gratuits, l'intrigue fourmille d'invrai-semblances et la conclusion relève d'une extravagance grotesque. Les interprètes ont de la peine à rendre convaincants des personnages par trop factices.
Texte : Robert-Claude Bérubé