Jo le fou (Crazy Joe)

Name: Jo le fou
Director: Carlo Lizzani
Genre: Drame policier
Duration: 100 min.

It. 1973. Drame policier de Carlo Lizzani avec Peter Boyle, Rip Torn, Eli Wallach. À New York, deux frères employés comme tueurs par un caïd de la mafia se rebellent contre leur patron pour acquérir plus d'importance dans le milieu de la pègre. Scénario basé sur des faits réels. Construction anecdotique. Manque d'intérêt. Traitement confus et superficiel. Interprétation peu nuancée de P. Boyle.

Jo le fou (Crazy Joe)

13 ans +

It. 1973. Drame policier de Carlo Lizzani avec Peter Boyle, Rip Torn, Eli Wallach.

À New York, deux frères employés comme tueurs par un caïd de la mafia se rebellent contre leur patron pour acquérir plus d'importance dans le milieu de la pègre. Scénario basé sur des faits réels. Construction anecdotique. Manque d'intérêt. Traitement confus et superficiel. Interprétation peu nuancée de P. Boyle.

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Genre :

Drame policier

Année :

1973

Durée :

100 min.

Réalisation :

Carlo Lizzani

Pays :

Italie

Distributeur :

Astral

Interprètes :

Peter Boyle
Rip Torn
Eli Wallach

Employés comme tueurs par un caïd de la mafia à New York, deux frères, Richie et Joe, se rebellent contre leur patron et tentent d'acquérir plus d'importance dans le milieu de la pègre. Joe finit par faire un séjour en prison et Richie, miné par la maladie, se suicide. A sa sortie de prison, Joe reprend ses activités criminelles et s'allie à des bandits de race noire pour intimider ses anciens complices. Son attitude de défi attire sur lui la vengeance de la pègre et il est abattu dans un restaurant.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le scénariste s'est inspiré d'événements récents dans le milieu criminel new-yorkais. L'intrigue, étirée au long d'une quinzaine d'années, est construite de façon trop épisodique pour capter l'intérêt et les luttes intestines qui y sont décrites risquent d'apparaître confuses à de nombreux spectateurs. Le personnage central n'est pas vraiment exploré en profondeur et le réalisateur semble trop compter sur les scènes de violence pour retenir l'attention. Le jeu de Boyle dans le rôle-titre manque de nuances.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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