S'inspirant prétendument de contes gaillards datant du Moyen Age, le film les illustre avec une impudeur toute contemporaine. La grossièreté voisine allègrement avec la bêtise dans le développement des intrigues où l'on se contente de faire alterner quelques pitreries faciles avec des scènes déshabillées. La mise en scène et l'interprétation sont de piètre qualité.
Texte : Robert-Claude Bérubé