Remarquable

On m'appelle Zapper (Big Zapper)

Name: On m'appelle Zapper
Director: Lindsay Shonteff
Genre: Drame policier
Released: 2010-07-16 11:22:50
Duration: 90 min.

G.-B. 1973. Drame policier de Lindsay Shonteff avec Linda Marlowe, Gary Hope, Richard Monette. Une détective privée experte en karaté est embauchée par un homme d'affaires pour retrouver sa fille disparue. Récit invraisemblable et racoleur. Rythme fort inégal. Réalisation plutôt négligée. Interprétation oscillant entre indifférence et cabotinage.

On m'appelle Zapper (Big Zapper)

13 ans +

G.-B. 1973. Drame policier de Lindsay Shonteff avec Linda Marlowe, Gary Hope, Richard Monette.

Une détective privée experte en karaté est embauchée par un homme d'affaires pour retrouver sa fille disparue. Récit invraisemblable et racoleur. Rythme fort inégal. Réalisation plutôt négligée. Interprétation oscillant entre indifférence et cabotinage.

Fiche du film Ajouter à ma liste

Genre :

Drame policier

Année :

1973

Durée :

90 min.

Réalisation :

Lindsay Shonteff

Scénario :

Hugh Brody

Photographie :

John C. Taylor

Musique :

Colin Pearson

Montage :

Spencer Reeve

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Cinépix

Interprètes :

Linda Marlowe
Gary Hope
Richard Monette
Sean Hewitt
Michael O'Malley
Jack May
Penny Irving
Stuart Lock
Bobbi Anne
Graham Ashley

Une experte en karaté, Harriet Zapper, exerce le métier de détective privé. Un homme d'affaires, Horn, fait appel à elle pour retrouver sa fille disparue, Pandora. Les recherches de Harriet la mènent à un certain Kono, qui contrôle un certain nombre de trafics criminels. Celui-ci a fait tuer Pandora qui voulait lui échapper après être tombée dans ses filets. Harriet parvient à échapper à tous les pièges tendus par Kono et ses sbires et livre le criminel à la justice.

L’AVIS DE MEDIAFILM

La conception du film fait penser à ces bandes dessinées dites "pour adultes" qui alimentent les fantaisies des frustrés tant sur le plan de l'érotisme que de la violence. Les affrontements de l'héroïne avec de nombreux adversaires masculins sont traités sur un ton d'invraisemblance qui rappelle les films chinois centrés sur les arts martiaux. La réalisation est plutôt négligée, le rythme fort inégal et l'interprétation oscille entre l'indifférence et le cabotinage.

Texte : Robert-Claude Bérubé

COMMENTAIRES

Ajouter un commentaire

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!