É.-U. 1972. Drame biographique de Andrew L. Stone avec Horst Buchholz, Mary Costa, Rossano Brazzi. Le jeune Johann Strauss devient le rival puis le successeur de son père en tant que roi de la valse à Vienne. Approche spectaculaire et superficielle. Mise en images fastueuse. Danses entraînantes. Bonne interprétation.
Le jeune Johann Strauss devient le rival puis le successeur de son père en tant que roi de la valse à Vienne. Approche spectaculaire et superficielle. Mise en images fastueuse. Danses entraînantes. Bonne interprétation.
Plus fidèle aux faits historiques que le film réalisé sous le même titre par Duvivier en 1939, cette production s'en tient cependant à une approche spectaculaire et superficielle. La danse y occupe une place importante comme il se doit et une mise en images fastueuse fait bon usage des décors de palais de Vienne ou des paysages autrichiens. Si bien que l'ensemble s'avère agréable, surtout pour les amateurs de ce style musical. Horst Buchholz se contente d'être élégant et vif dans le rôle de Strauss alors que Nigel Patrick joue à merveille la fatuité dans celui de son père.
Texte : Robert-Claude Bérubé