Le succès de certains suspenses tarabiscotés dus à Dario Argento a déclenché en Italie toute une série de films de même style. II eût été étonnant qu'Umberto Lenzi, cinéaste commercial à la remorque des modes, restât à l'écart. Il a donc mijoté lui aussi une intrigue artificielle semée de fausses pistes et axée sur la violence meurtrière d'un maniaque. La mise en images est faite toutefois avec un certain métier et l'interprétation est à tout le moins satisfaisante.
Texte : Robert-Claude Bérubé