Ce film, qui prétend à une vague parenté avec une comédie d'Aristophane, est une imitation servile d'une production italienne antérieure, QUAND LES FEMMES AVAIENT UNE QUEUE. Le modèle ne brillait déjà pas par sa subtilité et cette nouvelle mouture renchérit encore sur les éléments vulgaires ou grotesques. Les plaisanteries sont d'une lourdeur rare, le rythme est incertain et les décors et costumes ne font montre d'aucune originalité. L'interprétation ne rachète rien, au contraire.
Texte : Robert-Claude Bérubé