Fernando Di Léo, si l'on en juge par les quelques films que l'on connaît de lui, semble briguer le championnat de la brutalité du cinéma italien. Les complexités de l'intrigue ici racontée ne semblent se dérouler que pour fournir l'occasion de bagarres ou tueries diverses. Tout cela est présenté dans un style tape-à-l'oeil du plus mauvais effet et les interprètes en remettent à qui mieux mieux.
Texte : Robert-Claude Bérubé