Remarquable

Les Deux Saisons de la vie

Name: Deux Saisons de la vie, Les
Director: Samy Pavel
Genre: Drame psychologique
Duration: 95 min.

Bel. 1972. Drame psychologique de Samy Pavel avec Samy Pavel, Stéphane Guss, Jean Ludow. L'enfance difficile et les premiers succès d'un jeune musicien, fils d'un fermier divorcé et remarié. Mélange de rêve et de réalité. Abondance d'effets de photographie et de montage. Ensemble artificiel. Interprétation compassée.

Les Deux Saisons de la vie (Les Deux Saisons de la vie)

Général

Bel. 1972. Drame psychologique de Samy Pavel avec Samy Pavel, Stéphane Guss, Jean Ludow.

L'enfance difficile et les premiers succès d'un jeune musicien, fils d'un fermier divorcé et remarié. Mélange de rêve et de réalité. Abondance d'effets de photographie et de montage. Ensemble artificiel. Interprétation compassée.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1972

Durée :

95 min.

Réalisation :

Samy Pavel

Scénario :

Catherine Alcover
Samy Pavel

Photographie :

Giuseppe Pinori

Musique :

Ennio Morricone

Montage :

Roberto Perpignani

Pays :

Belgique

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Samy Pavel
Stéphane Guss
Jean Ludow
Catherine Alcover
Nathalie Dalyan
Joseph Decateuw
Renaud Jeanmart
Michèle Sand
Christian Hut
Serge Spira
François-Xavier Jeanmart
Michel Verhulst
Daniel Mertens
Pierre Milhet

Guss, jeune fils d'un fermier divorcé et remarié, se sent incompris dans sa famille et au collège religieux où il est pensionnaire. Il trouve réconfort dans les visites hebdomadaires de sa mère, qu'il revoit à onze ans, mais celle-ci meurt peu après. Devenu adulte, Guss quitte la ferme pour la ville pour tenter de faire carrière dans la musique. Après de nombreuses difficultés, il obtient un certain succès. En visite chez son père, il retrouve le fossé qui le sépare de ses demi-frères.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il semble y avoir une part d'autobiographie dans ce premier film réalisé par un jeune cinéaste belge. Mêlant le rêve et la réalité, celui-ci s'appesantit sur un échantillonnage d'effets de photographie et de montage au point d'en devenir plus agaçant qu'intéressant. Le film en acquiert une artificialité insistante qui nuit à des qualités réelles d'expression lyrique. La photographie est très soignée, léchée même, et une musique excessivement romantique enrobe le tout. L'interprétation apparaît plutôt compassée.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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