É.-U. 1972. Thriller de Michael Winner avec Charles Bronson, Jan Michael Vincent, Keenan Wynn. Un tueur professionnel découvre qu'il est lui-même la cible d'un de ses confrères. Psychologique plutôt fantaisiste. Mise en scène d'une grande minutie technique. Ensemble superficiel. Bonne interprétation de C. Bronson.
Un tueur professionnel découvre qu'il est lui-même la cible d'un de ses confrères. Psychologique plutôt fantaisiste. Mise en scène d'une grande minutie technique. Ensemble superficiel. Bonne interprétation de C. Bronson.
En s'efforçant de traiter le thème avec originalité, les auteurs ont débordé les frontières de la fantaisie si bien que leur héros n'apparaît guère convaincant sur le plan psychologique. La mise en scène est d'une grande minutie sur le plan technique et la mise au point des scènes est précise. Mais la mécanique tourne un peu trop à vide à tel point que l'ensemble apparaît comme un exercice plutôt vain. À défaut de profondeur, Bronson donne de la solidité à son personnage.
Texte : Robert-Claude Bérubé
Par : Patrick Aubert, Montréal
THE MECHANIC captive dès les premières images, grâce à sa mise en scène précise, ses ambiances glauques et la présence énigmatique du grand Charles Bronson. Les meurtres s'accumulent un peu gratuitement mais le rythme soutenu tient la route. On en sait finalement très peu sur la vie et les réelles motivations du personnages principal, quoi qu'il est fascinant de le voir tisser sa toile s'araignée à chaque fois. Le dénouement final est étonnant.
J'attribue à ce film la Cote